Il rejette la préméditation
Accusé de l’assassinat de son rival amoureux, en 2008, à Brassac, Gilles Blanc reconnaît les faits mais pas la préméditation.
Accusé de l’assassinat de son rival amoureux, en 2008, à Brassac, Gilles Blanc reconnaît les faits mais pas la préméditation.
Le Clermontois de 42 ans est condamné pour «violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner». Il... Voir l'article